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Dossier Complet sur les Recherches en Parapsychologie (2e Partie)

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Message par David Cloutier Dim 28 Fév - 21:04

Sources: http://www.sciences-occultes.org/

DEUXIÈME PARTIE
ÉVOLUTION DE LA PARAPSYCHOLOGIE A LA PERCEPTION EXTRA-SENSORIELLE

Arthur Koestler, spécialiste de la philosophie des sciences et de ce que l’on appelle jusqu’à maintenant les « parasciences », auteur notamment de « Le zéro et l’infini », écrivait, il y a quelques années :
« Je me sentirais plus à l’aise si la sensation extra-sensorielle n’existait pas ; mais elle existe ! »

Oui, elle existe à ce point que la science l’incorpore aujourd’hui dans ses recherches et que les savants débouchent sur des observations contrôlées et des hypothèses qui dépassent, en leurs implications, l’entendement humain.

Comme l’exprime A. Koestler, ce rapprochement, fait au cours de ces toutes dernières années contribue surtout à renverser la pire et la plus destructrice superposition de notre époque, celle qui a construit de toutes pièces une espèce d’horlogerie matérialiste et a imposé d’éliminer, pire encore de ridiculiser toute autre conception. Combien de nos savants, ainsi « conditionnés », par inconscience et orgueil scientiste borné, ont « refusé » de se livrer à toute véritable investigation scientifique, fondée sur la recherche en tous domaines.


Et ici, nous voudrions citer Firsoff qui écrit « qu’affirmer que la matière seule existe, est la plus illogique des propositions ». Les constatations de la physique moderne montrent « qu’il n’y a pas de matière au sens traditionnel du terme. » Les propositions surprenantes de la psychotronique se fondent dans le creuset des laboratoires les plus prestigieux des U.S.A., de la Russie, de Prague, d’Angleterre, Chine, du Japon…, alimentés des matériaux et concepts fantastiques issus de la physique moderne, de l’astronomie, de la biologie, « contraintes de faire appel à la métaphysique ». La nature spécifique des phénomènes en question trouble ou révolte encore bien des esprits incapables d’accepter l’expérience ; ces phénomènes sont insaisissables selon les critères étroits de la science positive contemporaine.

Il s’agit d’une mutation encore plus extraordinaire et plus profonde que celle du passage du système de Ptolémée à celui de Copernic, c’est à dire le passage de la Terre plate à la Terre ronde, de la Terre centre de l’Univers à la Terre satellite du soleil ; or en mettant le soleil au centre, tout ne s’est-il pas trouvé simplifié ? Mais maintenant le problème est beaucoup plus grave encore : nous croyons l’homme placé devant la plus grande décision de son histoire : il lui faut abandonner de « chères illusions » qui pourtant le conduisent au suicide à brève « échéance ».

UN PETIT HISTORIQUE DE CETTE ÉVOLUTION

Nous allons entrer un peu plus dans le détail de ce qui s’est produit dans le monde scientifique. Vers 1930 les particules élémentaires considérées alors comme étant les ultimes constituants de la matière étaient simplement au nombre de trois :

  • L’électron, à charge négative

  • Le proton, à charge positive

  • Le neutron.


Aujourd’hui, nous connaissons une bonne centaine de particules élémentaires. Certaines d’entre elles sont extraordinairement éphémères, d’autres, comme le photon semblent avoir une existence pratiquement illimitée. Or ces « particules » dites élémentaires, semblent devoir être constituées d’entités encore plus élémentaires que l’on dénomme « quarks ». On n’en a jamais vu. On ne peut qu’étudier leurs trajectoires dans la chambre à bulles. Leurs vitesses sont inimaginables.

On observe l'impensable : la transformation de l’énergie en masse, et de la masse en énergie. Gell-Mann (et ses collaborateurs) (Prix Nobel), l’un des premiers, nous a mis en face d’une « réalité » fantastique. L’une des plus fantomatiques de ces déconcertantes particules élémentaires est le neutrino. Elle fut imaginée et prédite dès 1930 par Wolfgang Pauli et découverte 26 ans plus tard par F. Reines et C. Cowan. Le neutrino n’a ni masse, ni charge électrique, ni champ magnétique. Il n’attire, ni repousse, ni capte d’autres particules. On peut supposer un neutrino venant de la Voie Lactée et traversant toute la Terre dans son épaisseur comme si c’était un espace vide. Martin Gardner se plaît à nous faire observer qu’en ce moment des milliards de neutrinos fantômes, venus des
étoiles, du soleil, peut-être même d’autres galaxies, nous traversent le crâne et le cerveau…

LA MATIÈRE ET L’ESPRIT

De plus en plus intrigués, les physiciens pourtant hommes de la matière, se sont mis à la recherche du chaînon qui nous manque encore entre la matière et l’esprit. V.A. Firsoff et ses collaborateurs de la Société Royale d’Astronomie, pensent que l’esprit est une entité, ou interaction universelle, du même ordre que l’électricité qui est partout, ou la gravitation universelle, et qu’il pourrait exister un module de transformation, analogue à la fameuse équation d’Einstein : E = mc2, qui mettrait en rapport le « matériau mental » avec d’autres entités du monde physique.


Il pourrait même y avoir des particules élémentaires de « matériau mental » que l’on dénomme déjà, par avance, des « mindons », dont les propriétés pourraient être du même ordre que celles du neutrino. Cyrill Burt va encore plus loin avec ses « psychons », de même que le physiologiste John Eccles et le physicien Adrian Dobbs. Avec Maurice Dirac, de Cambridge, Prix Nobel en 1933, nous abordons des phénomènes encore plus étranges. Il prévoyait la création d’anti-électrons ou électrons positifs ; or, ils furent découverts, un an plus tard, par Carl Anderson. Physiciens et astronomes débouchent ainsi, maintenant, sur l’hypothèse de l’existence d’autres mondes, d’autres galaxies, composés d’anti particules qui se combinent pour former l’anti-matière.

LE TEMPS

Allant encore plus loin, Richard Philips Feynmann, Prix Einstein 1953, Prix Nobel 1965, pense qu’une particule dénommée « le positron » a la possibilité de reculer dans le temps, ainsi que probablement d’autres particules. Il y aurait donc des particules capables de se déplacer dans le passé alors que nous, nous avançons dans le futur. Et l’on se demande si les galaxies, composées d’anti-matière, « ne voyageraient pas en totalité dans le passé… »

Quant à la télépathie, à la clairvoyance, à la prémonition, à la psychokinésie, à la psychographie…, des physiciens russes et tchèques, Adrian Dobbs, Eddington, débouchent sur des explications d’ordre physique. Physiquement parlant, il semble exister des « facteurs dispositionnels concomitants qui inclinent ou prédisposent le futur à se produire de certaines manières spécifiques. » Dobbs estime qu’il s’agit de facteurs de probabilités dans un système qui prédispose l’avenir à un état donné et non de prophétie : le devin lit le livre de l’avenir. Il n’est plus devin, il perçoit. Ce livre de l’avenir serait composé d’hypothétiques messagers dénommés « psitrons » qui opèrent dans une autre dimension du temps.

Ces particules sont douées de facultés étonnantes, comme celles du neutrino de Pauli, mais toutefois, dans une autre dimension toute différente ; elles voyageraient infiniment plus vite et indéfiniment plus vite que la lumière « sans perte d’énergie ». Ces particules psitrons pourraient influencer les neurones d’un sujet particulièrement réceptif. Elles lui communiqueraient, non seulement l’information concernant un état actuel, mais aussi les « préformations » (ou informations préalables d’un état futur probable). Or nous savons que les vieux sages de l’Orient disaient déjà il y a plusieurs milliers d’années, que tout notre corps, tous nos organes, « sont réceptifs en totalité », et nous ne voulons en donner pour exemple que le cas du sourd de naissance qui, en se plaçant contre un piano, « entend » du Bach, du Beethoven, du Mozart, fait très bien la différence et se délecte.

DES CONSÉQUENCES EN CHAINE

Comme l’a exprimé Arthur Koestler, l’étude conjointe de la matière, de l’énergie et de la conscience, conduit à l’inanité d’une espèce d’horlogerie mécaniste et chimique qui fabriquerait de la pensée, c’est à dire de la fiction, ou, autrement dit, une sorte de fantôme enfermé dans la machine. Cette explication des rationalistes apparaît à la fois bien vaniteuse et simpliste… Les noms des physiciens, des astronomes, des médecins, des biologistes… américains, anglais, allemands et, surtout russes, tchèques, chinois, japonais, qui progressent dans leurs recherches en ces voies qui ouvrent des perspectives dépassant l’esprit humain, se comptent maintenant par plusieurs centaines. Les progrès qui se font actuellement, de mois en mois, sont considérables. Actuellement
en Russie, se produit un déferlement de recherches dans des laboratoires et des universités, de plus en plus nombreux.

La télépathie est maintenant bien attestée. Les phénomènes de télékinésie sont étudiés rationnellement, non seulement avec Uri Geller qui s’est fait une publicité intempestive, mais avec d’autres êtres autant, sinon même plus exceptionnels que lui, tels Arigo, Koulaguina, Ermolaiev, Dadachev, Svan, Pavlita, Neyla Mikhailowa…

PSYCHISME UNIVERSEL ET ÉNERGIE UNIVERSELLE

Il existe un psychisme de l’Univers. La matière n’est qu’une manifestation des diverses formes vibratoires et gravitationnelles de « l’Energie universelle ». Que peut donc bien être cette énergie ?

Nous n’en savons rien ; nous utilisons bien l’électricité sans savoir ce que c’est ; nous en savons encore moins sur l’Energie et le psychisme qui l’animent. Nos savants acceptent actuellement de le constater. Ce « psychisme est plus ou moins développé » selon qu’il s’agit de matière non vivante ou de matière vivante, selon qu’il s’agit de plantes, d’animaux ou d’êtres humains.

Il existe des êtres mieux doués que d’autres pour recevoir ces phénomènes qui se produisent dans l’invisible qui est un monde bien plus immense que le monde de la matière… laquelle n’est que fantôme. Ce n’est pas elle la réalité du monde, elle n’en est qu’une infime manifestation. Un atome est constitué à l’image du système solaire : un peu de matière apparente, c’est à dire le soleil, les planètes qui gravitent et du vide, un vide immense ; un vide à nos yeux seulement, car c’est justement ce vide qui est le plus important.

LE « CHANGEMENT » ET NOTRE CERVEAU

Et peut-être ainsi pourrions-nous dire : le monde se complexifie pour certains, alors qu’il s’éclaircit pour d’autres esprits, tout dépend de notre sensibilité à percevoir. Ou nous sommes repliés sur nous-mêmes dans une intelligence néo-cortésienne intellectualisée, ou sur-intellectualisée, ou nous avons une disponibilité qui nous vient d’un rhinencéphale et d’un hypothalamus qui n’ont pas été complètement sclérosés par notre ankylosante et présomptueuse éducation occidentale.

Par son intelligence néo-cortésienne l’homme prométhéen croit pouvoir tout comprendre de la nature, avoir le pouvoir et le droit de la dominer, de l’asservir à ses caprices, de la maîtriser à son gré. Il a perdu l’essentiel : la disponibilité qui le rattache, s’il le veut, à l’Univers, au Cosmos. C’est cette perte de l’Essentiel, qui conduit actuellement notre monde à la faillite à court terme, par la ruine de l’Unité.

LES GRANDES LOIS UNIVERSELLES

La science, dans ses démarches actuelles, est en voie de redécouvrir cet essentiel : c’est là que se situe l’espoir. Notre cerveau est « l’outil » le plus extraordinaire qui soit, or faut-il savoir s’en servir. Mais qui nous a enseigné la manière de « l’utiliser conformément aux lois naturelles ? »Nous avons systématiquement oublié que nous ne sommes pas tout à fait seuls en ce monde. Il y a une Entité qui a ses lois : « les grandes lois naturelles » mentionnées notamment par Alexis Carrel, lesquelles gèrent l’univers. Aller à l’encontre de ces lois mène automatiquement à la catastrophe. Quelques-unes de ces lois que découvre actuellement enfin la science sont :

  • La loi de cohérence

  • La loi d’équilibre et d’harmonie

  • La loi d’économie

  • La loi de la résonance

  • La loi de cause à effet

  • La loi de mouvement et d’effort

  • La loi d’union des opposés

  • La loi d’unité dans la diversité

  • La loi du rythme

  • La loi d’action-réaction

  • La loi de synchronicité (coordination, compensation)

  • La loi d’esthétique

  • La loi d’évolution qualitative (orthogenèse)

  • La loi d’engagement

  • La loi de justice

  • La loi d’amour…


L’HOMME NOUVEAU

Il faut savoir se rendre disponible ; il faut savoir « s’ouvrir avec discernement ». Il faut prendre la résolution de chercher à comprendre et respecter la loi de l’Univers : une loi qui procure la vraie liberté, la sérénité et le bonheur, un bonheur partagé, provenant de la pensée juste et de l’action juste qui en découle.

NOS CINQ SENS ET LEUR PROLONGEMENT

Ainsi, nos cinq sens classiques possèdent une propriété supplémentaire, non classique, « leur prolongement intérieur ». La vue intérieure est un type de cheminement derrière nos yeux, qui nous met en relation avec telle ou telle partie de notre corps, comme par exemple avec nos paupières ; c’est là un premier exercice d’entraînement. Par la suite on se mettra en rapport avec le centre de l’attention, puis on ira plus loin,…

Cet exercice dépasse la vue intérieure, il implique aussi le toucher. Le sens de l’odorat est extrêmement important. Tant de choses peuvent être révélées par un odorat subtil ! N’est-ce pas dans les fosses nasales que se nourrit ce qui est essentiel en nous : le corps éthérique ? Ce corps éthérique, découvert par les savants de la Russie, et même maintenant photographié couramment avec l’appareil Kirlian, est dénommé d’un terme plus scientifique : le corps-énergie.

POUVOIRS OU DONS?

Nombreux sont ceux qui voudraient accroître leurs possibilités, les uns dans le but de nuire, d’autres dans celui « d’épater la galerie », d’autres dans le but de « gagner de l’argent »… Mais, attention, ces pouvoirs ne sont pas tout à faits gratuits, ni inoffensifs pour celui qui en fait mauvais usage. « Il y a une justice immanente », on peut encourager des catastrophes psychiques et autres. De plus, nous ne pourrons pas nous élever spirituellement si nous poursuivons des buts égoïstes, si nos intentions ne sont pas pures.

Ces dons nous sont offerts afin de nous aider à nous dépasser, à nous transcender, pour nous conduire au bonheur. Le « bonheur n’existe que dans le dépassement ». Tous les autres bonheurs ne sont que des faux bonheurs, des trompe-l’oeil à la portée de l’individu superficiel. Nous avons des facultés instinctives, c’est à dire des survivances d’un passé lointain, à découvrir et approfondir en nous afin de mieux savoir les comprendre ; nous avons des facultés intellectuelles et intuitives à mieux développer ; nous avons aussi des facultés spirituelles à déceler, une conscience qui ne demande qu’à s’épanouir.

Toutes ces facultés sont « en chacun de nous à des degrés différents » ; en venant en ce monde nous ne sommes pas égaux les uns aux autres. L’appel du psychisme universel, sa perception notamment, sont très inégaux d’une personne à l’autre ; certaines se sentent attirées ; d’autres ont peur, d’autres encore sont dans l’obscurantisme total, elles refusent même l’essai. Il est captivant d’apprendre à percevoir un rapport vécu, une relation qui vient de l’intérieur et qui va vers l’intérieur de l’autre, un souffle qui passe, une vibration qui s’enregistre, une compréhension d’une profondeur inhabituelle qui s’établit. Tout est possible « à un coeur qui sait écouter. »

DOUZE SENS

Ces sens que nous pouvons subtilement développer pour notre plus grand bien sont d’abord les sept sens supplémentaires au sujet desquels on pourra trouver tous les renseignements nécessaires chez Rudolf Steiner. Ce sont : le sens de l’équilibre, le sens du mouvement, le sens de la vie, le sens de la chaleur, le sens de la parole, le sens de la pensée, le sens du moi d’autrui… et d’autres encore :

- le « sens de la direction » ;

- le « sens des obstacles » ;

- « l’autoscopie », qui est une possibilité de décrire par exemple des lésions d’organes ;

- la « radiesthésie », qui peut transmettre des vérifications de calculs, de découvrir où se situe l’erreur d’une balance comptable qui ne tombe pas juste, de découvrir de l’eau, un document perdu, des organes malades, et tant d’autres choses…

- la « psychométrie », c’est à dire la possibilité de déceler certaines empreintes conservées par de vieux meubles, de vieilles maisons, de vieux objets, de l’ambiance dans laquelle ils se sont trouvés à l’occasion d’événements tragiques, ou particulièrement heureux ;

- la « lucidité » ou voyance, vision rapide, fugitive, perception d’état de conscience chez un autre sujet ;

- la « clairvoyance », qui est une faculté de voir à distance ;

- la « clairaudience », est une perception de voix intérieures (Jeanne d’Arc, Saint Paul, Socrate…) plus fréquente qu’on ne le suppose ;

- la « télépathie » est une communication ; c’est un synchronisme de sentiments ou d’idées qui s’établit, sans intermédiaire classique, entre deux personnes ;

- la « monition », qui est un avertissement, une révélation plus ou moins claire d’un phénomène lointain;

- la « prémonition », qui est une communication, une sensation précédant un fait et l’annonçant par avance ;

- la « télesthésie » : il s’agit de quelque chose de très particulier entre deux personnes qui sont en échange permanent ;

- la « télékinésie » (kinésie : mouvement), possibilité de tordre ou déplacer à distance des objets, sans les toucher, sans les forcer ;

- la « psychocinèse » ou psychokinésie, ou mouvement par l’esprit : c’est un déplacement d’objet par le regard, par la volonté ;

- le « sens de l’attention » (non intellectuelle, non corticale) : il s’agit d’une attention à notre vie subtile intérieure ; c’est se sentir vivre ;

- « l’attention marginale » : c’est le sentiment que quelqu’un nous regarde ;

- la « médiumnité », c’est à dire la possibilité de servir d’intermédiaire entre les hommes, les esprits et les morts;

- « la bilocation », ou sens du dédoublement, c’est à dire le « don d’ubiquité », peut permettre à une même personne d’être présente en même temps en deux endroits différents. Un fait célèbre de bilocation est celui de St Liguori, évêque mort en 1787, qui se trouva en même temps à Rome et dans sa ville épiscopale de Santa Agatha ;

- la « catalepsie », (action de saisir) est un type d’hypnose ; les muscles volontaires sont mis en état de refus d’obéissance ;

- la « lévitation », sens qui permet l’élimination de la pesanteur ;

- le « somnambulisme », état nerveux que sont capables de provoquer certains magnétiseurs mais aussi espèce de dédoublement de la personnalité pendant le sommeil;

-« l’hypnotisme », d’un simple sens ou faculté de certains êtres, est devenu maintenant une véritable science. On peut très bien développer cette possibilité ;

- le « sens qui communique de la force vitale » : imposition des mains, magnétisme humain ;

- la « conscience » n’est-elle pas un sens refoulé, gênant que l’on ne veut pas entendre ni développer ? Elle ne conseille jamais de faire le mal, elle s’exerce toujours dans le sens de l’orthogenèse ;

- le « sens de la justice » : comme la conscience, c’est un sens surnaturel attribué par la nature à l’homme. Nous pouvons remarquer que la justice n’existe pas dans la nature, autour de nous, entre animaux, entre plantes : partout joue la loi des rapports de forces. Tant que l’homme ne sait que
demeurer dans les rapports de forces, il n’est pas civilisé. Tous ces rapports de forces entre gouvernants et administrés, entre patronat et syndicats, entre employeurs et employés, entre contestataires et entêtés, sont des marques de notre manque de civilisation, de notre méconnaissance des grandes lois naturelles.

LE SENS ULTIME

Plaçons enfin en dernier, le « sens de la lumière », le sens de l’ouverture à la pulsion spirituelle. Le sens de la lumière conduit à l’Unité, c’est lui qui fait dépasser la dualité, les opposés, les contradictions. Il fait découvrir l’éternité qui est au fond de l’être humain. C’est lui qui nous mène vers la transcendance ; c’est la découverte de la loi d’amour, une loi surnaturelle puisque « aimer c’est se surpasser. »

EN VENANT EN CE MONDE L’HOMME A ETE CHARGE D’UNE MISSION

Les cycles végétaux et animaux subissent leur évolution. Dieu a confié à l’homme le soin de faire sa propre évolution. Oui, notre monde est pensé. Les sages de la plus haute antiquité le savaient. Voici que la science physique notamment le redécouvre ; elle découvre également la loi d’évolution qualitative. Notre monde a une finalité qualitative dénommée « télénomie », ou commande à distance, ou finalité, ou déterminisme. En fait, ici-bas, on ne voit que les effets, le comment.

La science classique et positive n’avait pas les moyens de découvrir les causes, le pourquoi ; elle n’a aucune possibilité de démontrer l’existence de Dieu. D’ailleurs nul n’a le pouvoir d’assurer que l’existence divine est une certitude objectivement démontrable, sans controverse. « Chaque être ne peut que se démontrer à lui-même », par un cheminement intérieur et strictement personnel. La connaissance de Dieu se mérite.

La Connaissance se mérite.« Une science uniquement fondée sur le matérialisme ne peut suffire à expliquer l’inexplicable… ».

Ainsi, le professeur Rémy Chauvin, alors titulaire des chaires de psycho-physiologie générale à l’Université de Strasbourg et de sociologie animale à la Sorbonne, réaffirmait devant des chercheurs venus de tous les pays, sa foi absolue dans les possibilités offertes par la parapsychologie.

L’étude scientifique et objective des mystérieux pouvoirs de l’esprit humain est désormais sortie du ghetto d’ignorance dans lequel elle était tenue jusqu’ici par la science rationaliste officielle.Déjà, l’Union Soviétique de l’époque, au laboratoire de cybernétique biologique de l’Université de Leningrad, avait donné à ses chercheurs les moyens d’avancer dans une voie qui, pour beaucoup, reste encore du domaine de la sorcellerie.

C’est qu’il s’agit de bien délimiter ce qui est du domaine du charlatanisme et de l’exploitation de la crédulité, et les phénomènes mystérieux qui, depuis la nuit des temps, excitent l’imagination des hommes. Car, la démonstration irréfutable et définitive de la réalité des faits dits paranormaux a été établie…

Ces faits, longuement étudiés par des savants d’une honnêteté intellectuelle au-dessus de tous soupçons, n’ont pu, jusqu’ici recevoir aucune explication rationnelle au sens habituel du terme.
Depuis les milliers d’expériences réalisées dans le domaine de la transmission de pensée par William Crookes, l’inventeur des rayons cathodiques, la preuve été faite que certains sujets sont capables de prédire l’avenir, de déformer ou de déplacer les objets à distance.

Joseph-B. Rhine, professeur de psychologie à l’Université américaine de Durrham, a introduit la méthode statistique pour l’étude des phénomènes, des mathématiciens comme Olivier Costa de Beauregard, des naturalistes comme Rémy Chauvin, des psychiatres comme Hans Bender… ont uni leurs efforts pour faire reconnaître la parapsychologie comme cette « super-science » pluridisciplinaire qu’elle aspire à devenir.

Entre 1960 et 1974 divers évènements d’une importance capitale dans l’histoire de la philosophie des sciences se sont produits.

Le plus important consiste dans les réunions de caractère plutôt confidentiel qui se sont tenues entre 1960 et 1974 autour de l’Université de Princeton ainsi qu’à Pasadena. A ces réunions participaient les savants les plus éminents du monde actuel, dont une majorité de physiciens, de biologistes, d’astrophysiciens de réputation mondiale. Les conclusions de leurs travaux ont été résumées de la
manière suivante :

1. L’Univers (les êtres et les choses qui nous sont familiers) n’est que l’envers d’un Endroit unique et fondamental.
2. Cet « Endroit », correspondant au « champ unitaire » des physiciens, est une Conscience Cosmique.
3. Le comportement des constituants ultimes de la matière, molécules, électrons, etc., loin d’exprimer une intelligence vague, confuse, inférieure à la nôtre, est au contraire la manifestation d’une intelligence supérieure à l’intelligence humaine.
4. L’Univers matériel est un épiphénomène de l’Esprit ; il résulte d’interférences innombrables dont la superposition complexe et rapide parvient à conférer aux apparences qui nous sont familières, des
caractères de solidité, d’opacité, d’immobilité, de stabilité.
5. Tous les êtres humains peuvent accéder à la découverte de « l’Endroit » de l’Univers, qui est leur seule Réalité et y participer. En cela réside leur véritable « salut ».

LES « ELEMENTONS » DES PHYSICIENS SOCIETIQUES ET LA « CHIMIE OCCULTE »

Les lecteur de la « Chimie Occulte » de Helena Blavatsky, se souviendront des schèmes représentant les atomes physiques ultimes sous forme de tourbillons complexes d’ondes en forme de coeur, semblables à de minuscules toupies de mouvement, aussi intenses qu’étranges et complexes.

Les recherches et travaux des physiciens russes ont abouti à la constitution d’un modèle d’atome comportant de nombreuses similitudes avec celui présenté dans la « Chimie Occulte ». Nous en résumons ici fidèlement les caractéristiques.

1. Les particules élémentaires formant la « proto-matière » portent le nom d’élémentons. Aucune des propriétés familières ne leur est applicable.

2. Ils possèdent entre eux de puissantes interactions ainsi qu’un mouvement cinétique connu sous le terme de « spin ».

3. Ils peuvent être comparés à « d’infimes petites toupies » animées d’un mouvement de rotation donnant naissance à un champ. Mais ils ne sont pas des « corps ordinaires ».

Le physicien russe Vladimir Kéler écrit :
« L’océan de la proto-matière originelle serait formé de gouttes ressemblant à des toupies et possédant un mouvement cinétique propre, aussi petit que possible. La proto-matière est auto-active et autogène. Elle n’interagit qu’avec elle-même. »

LES « BULLES DE KOILON » ET LA THEORIE DE JOHN WHEELER

John Wheeler est considéré actuellement comme l’un des plus éminents physiciens américains, Professeur de Physique Nucléaire à l’Université de Princeton et co-auteur avec Robert Oppenheimer de la Bombe H. Il fit une communication à l’Académie Américaine pour l’Avancement des Sciences en 1971.

Cette communication présenta l’hypothèse selon laquelle les atomes ultimes de la matière seraient formés par d’infimes petites bulles (en anglais « tiny holes ») ou petits « trous » dans un « hyper-espace-temps » fondamental. La similitude de cette théorie, partagée par plusieurs physiciens éminents, avec l’existence des « bulles de Koïlon » évoquée par H.P. Blavatsky est évidente.

L’EXISTENCE D’UNE MÉMOIRE UNIVERSELLE

Les progrès des sciences génétiques ainsi que ceux des sciences biologiques et psychologiques ont mis en lumière les processus présidant à la naissance de la mémoire et de la pensée. Nous savons maintenant que la mémoire existe dès les interactions des grandes molécules, longtemps avant
l’homme, longtemps avant les mammifères, les protozoaires et même les algues bleues du Pré-Cambrien il y a des milliards d’années.

Nous savons maintenant que rien n’est perdu et que le bilan des mémoires accumulées se trouve fixé dans nos chromosomes, dans le « code génétique » qui préside à la croissance de l’être humain depuis le moment où il est conçu jusqu’au moment de la naissance. Au moment de la conception, une seule cellule entre en action. Au moment de la naissance, il y en a environ deux cent milliards. Heure après heure, semaine après semaine pendant neuf mois, des molécules, des cellules, d’abord non-spécialisées, se trouvent transformées, dirigées pour former des organes hautement spécialisés tels un cerveau ou un foie.

Ce travail ne s’est pas fait par hasard mais suivant des champs de forces, suivant une programmation d’une minutie extraordinaire. La richesse de celle-ci provient à la fois du bilan des mémoires accumulées et d’énergies psycho-physiques que l’on commence à entrevoir. La psychologie analytique, de son côté, met en évidence l’existence des « archétypes de l’inconscient collectif » correspondant à « l’Alaya Vijnana » des textes indiens de l’antiquité.

AVERTISSEMENT

Les monographies éditées sous la dénomination “Bibliothèque Alpha” traitent de sujets se rapportant aux questions philosophiques, spirituelles ou ésotériques. Elles sont proposées à nos membres car nous pensons que leur lecture peut être pour eux très édifiante et leur apporter des éléments de réflexion importants.

Toutefois, les idées présentées dans ces monographies sont celles de leurs auteurs, idées qu’ils se
sont forgées à partir de leur interprétation personnelle des enseignements ésotériques ou bien d’expériences spirituelles diverses. Elles n’engagent donc en aucune manière l’association ALPHA, dont
l’enseignement non dogmatique et non religieux, est délivré uniquement dans ses “Cours de Sciences Psychiques.”

Sources: http://www.sciences-occultes.org/
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